A Orsay, après un traitement par protonthérapie, 96% des patients survivent au moins 5 ans. Les facteurs de récidive sont la taille du mélanome et son envahissement extrascléral, emplacement à l'intérieur ou à l'extérieur de l'il. La tumeur peut ne pas être irradiée dans sa totalité, ou avoir provoqué des métastases non dépistées, qui forceront le patient à suivre un autre traitement.
La protonthérapie est indolore. Des effets secondaires supportables apparaissent quelques fois après le traitement, comme un dème à la paupière ou une irritation de la cornée, ils sont dus à la mort cellulaire dans les tissus sains, qui est toutefois minime.